C’est au tour de Ludovic (co-fondateur de Proximum) de se livrer au jeu de l’interview.
Pour commencer l’interview, votre Parcours en quelques mots?
Après une carrière de commercial dans les telecoms (SFR puis Matra Nortel), j’ai eu l’opportunité de rebondir dans le secteur de la formation professionnelle.
Au même moment Virginie a commencé à intervenir pour le compte d’organismes de formation auprès d’une clientèle publique.
L’opportunité de créer notre propre organisme s’est donc révélé comme une évidence. Elle nous a permis de nous lancer dans cette aventure entrepreneuriale familiale.
Je me suis rapidement rendu compte, avec le développement de l’activité, qu’il fallait professionnaliser nos savoir-faire. L’idée était de mettre totalement en valeur le talent et les connaissances des intervenants qui nous rejoignaient.
Il a fallu progressivement structurer notre activité afin d’être crédible auprès de donneurs d’ordre importants (UGAP, Caisse des Dépôts, Région Nouvelle Aquitaine, Métropole Aix Marseille Provence …) plus enclin à travailler par habitude avec des structures plus conséquentes.
Dans cette optique, nous cherchons à nous entourer de partenaires de confiance dans les domaines comptables, administratifs et financiers et technologiques car la somme des tâches devient vite chronophage avec plus de 250 jours d’intervention / an.
La holding que nous avons créé (Groupe VB) nous a permis également d’internaliser des ressources et d’embaucher un responsable administratif (Emilie).
Au fur et à mesure de mon parcours j’ai dû également me former afin de permettre à la société d’adapter son offre, j’ai notamment suivi des modules et gestion et finances au CNAM ou plus récemment un certificat en transformation digitale des organisations à l’EM Lyon.
Expliquez votre fonction au sein de Proximum
Je suis aujourd’hui dirigeant de l’entreprise, Président plus précisément. Mon rôle consiste essentiellement à m’occuper du développement de la structure, tant d’un point de vue commercial qu’opérationnel.
Nous sommes, de part notre origine, spécialisés dans les formations à caractère juridique et financier. Ces matières paraissent souvent complexes et abstraites pour nos auditoires bien qu’elles encadrent leur fonctionnement quotidien.
Avec Virginie, nous devons donc trouver des partenaires et des moyens pédagogiques afin de rendre nos enseignements le plus efficace. C’est assurément la partie la plus intéressante de notre métier.
Je suis également, Président du Groupe VB. Ce groupe comprend deux autres structures :
- la société Crizalid qui accompagne des PME et des TPE et forme leurs salariés.
- la société Formaxis, basée à Bordeaux, chargée de développer de nouveaux modes d’apprentissage.
Quel est l’esprit Proximum selon vous?
Le nom Proximum vient de « proximité ».
Nous cherchons à construire avec nos interlocuteurs une relation de confiance et d’écoute.
Nous ne sommes pas seulement des « dispensateurs de savoirs » mais également des partenaires pour nos clients, au plus proche de leurs préoccupations.
Cet esprit de partage règne également en interne, l’épanouissement et le bien-être de nos collaborateurs sont des objectifs prioritaires.
Pour finir l’interview, pourquoi choisir Proximum quand on souhaite se former?
Choisir Proximum, c’est faire confiance à un organisme à taille humaine qui met l’apprenant au centre de ses préoccupations. Nous sommes en perpétuelle recherche de qualité.
Ceci s’explique certainement par le fait que nous avons toujours dû être agile et trouver des solutions face à une concurrence composée d’organismes notoires.
Depuis plus de 15 ans, nous sommes présents auprès des agents et élus du secteur public. Nous connaissons leurs besoins et les difficultés qu’ils rencontrent dans le cadre de leurs missions, notamment l’appréhension de l’environnement juridique et administratif des collectivités.
Dans un contexte de transformation numérique et de mutation des modèles économiques, il y a un équilibre à trouver entre apprentissage autoguidé et apprentissage autogéré, l’accompagnement humain restant sans aucun doute le levier principal d’acquisition et de transmission des savoir-faire et des connaissances.
Merci à Ludovic pour cette interview